La Blockchain, ou la prochaine révolution numérique.
La “Blockchain” est l’infrastructure informatique de demain où chaque interaction est sécurisée. Cette technologie promet-elle le commerce sans argent ? (suite…)
La “Blockchain” est l’infrastructure informatique de demain où chaque interaction est sécurisée. Cette technologie promet-elle le commerce sans argent ? (suite…)
Aujourd’hui, de nombreux services s’effectuent sur Internet. Stocker des données sur le Cloud, gérer ses démarches administratives ou même consommer se passe désormais le Web. Cependant, ces démarches doivent être impérativement sécurisées.
On divulgue de plus en plus de données personnelles en créant des comptes obligatoires pour bénéficier de divers services. Ces données doivent être impérativement protégées et cette protection se traduit avant tout par le choix d’un mot de passe complexe. La divulgation de ce dernier peut avoir pour conséquence une usurpation d’identité ou un vol de données bancaires entraînant des achats frauduleux.
Selon The Washington Post et The Guardian, L’Agence américaine pour la sécurité nationale (National Security Agency) collecte les données issues des échanges électroniques des internautes non-Américains.
Planning Tool for Resource Integration, Synchronization, and Management (PRISM) est un programme américain de collecte de renseignements étrangers à partir des différents fournisseurs de services électroniques, autorisé dans le cadre de la loi pour surveillance et le renseignement à l’étranger (Foreign Intelligence Surveillance Act ), géré par la NSA.
Entre 2007 et 2012, les grands groupes américains comme Google, Facebook, Youtube, Skype… ont intégré ce programme top secret en ouvrant l’accès de ses serveurs à la NSA. De ce fait, depuis 2007, des tonnes de données, que ce soit des fichiers, e-mails, des photos, qui transitaient via les serveurs des géants du Net, étaient collectées par la NSA. (suite…)
Ce projet vise à résoudre l’un des plus grands problèmes que rencontre Facebook suite à la quantité colossale des données à stocker. Comment créer un parc de serveurs opérant comme une seule unité alors que les serveurs sont géographiquement éloignés?
Facebook compte plus d’un milliard d’utilisateurs. Actuellement, le modèle permettant de gérer la base de données est le « Mapreduce ». Au début, c’était un modèle adapté, mais au fil des années, le nombre d’utilisateurs n’a cessé d’augmenter. De ce fait, les centres de stockage de Facebook se sont rapidement retrouvés submergés de données.
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C’est une question de plus en plus pertinente. Un partenariat entre Google Maps et la Deutsche Bahn (compagnie ferroviaire allemande) permet de comparer les itinéraires en train et en voiture pour les voyages en Allemagne.
Il s’agit concrètement, sur l’application Google Maps, d’une icône « train » s’ajoutant aux icônes «auto » et « piéton » déjà existantes.
L’internaute pourra bientôt cliquer sur son trajet train et être directement redirigé vers le site de la Deutsche Bahn pour commander son ticket.
La loi du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique (LCEN), vient de publier le décret n° 2011-219 du 25 février 2011, visant à déterminer le type de données à conserver par les hébergeurs ainsi que la durée de conservation.
Ces données sont associées à une opération de création, de modification et de suppression de contenus en ligne par l’internaute sur le site de l’hébergeur. (suite…)