Fujitsu has introduced a technological innovation in health, allowing a person to assess and monitor his heartbeat in a few seconds. A useful smartphone application in terms of telehealth.
On March 18, the Fujitsu Company introduced at the « General Conference of the Institute of Electronics, Information and Communication Engineers » (Japan), a technology to measure a person’s pulse rate in real time using a built-in camera or webcam in a smartphone or tablet.
By using a natural and chemical phenomenon, the technology is able to evaluate facial images captured by the camera and integrated in the mobile terminal, and to analyze them. In fact, the human face undergoes variations of lights that are caused by the absorption of green lights by hemoglobin composing the blood flow in our body.
Tout le monde ne le sait pas forcément, mais YouTube n’a pas toujours appartenu à Google. En réalité, le service a été créé en 2005 par trois anciens employés de Paypal, trois employés parmi lesquels on trouvait un certain Chad Hurley. Le co-fondateur et l’ancien CEO de Youtube, s’apprête à…
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Mark Zuckerberg a présenté le 4 avril dernier le premier « Facebook Phone », fabriqué par HTC et fondé sur l'application « Home ». Disponible en noir mat, blanc, rouge et bleu pâle avec un écran de 4,3", une caméra arrière de 5 méga pixels et le support de LTE (long term evolution).…
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Ecouter de la musique, regarder des films, faire les courses ou encore réserver un billet d’avion: on peut presque tout faire grâce à Internet. Reconnu comme un des droits fondamentaux, Internet est devenu incontournable, on ne peut plus s’en passer. Mais qu’en est-il de son utilisation à des fins non professionnelles sur le lieu de travail ?
Selon une étude récente d’Olfeo (éditeur de logiciels de filtrage de contenus), les salariés passent en moyenne 57 minutes par jour sur Internet, pour des recherches personnelles, ce qui équivaut à 28,5 jours par an.
Aujourd’hui, Internet est un outil essentiel de communication dans la société. De plus en plus d’informations et de services sont offerts par ce biais. Droit fondamental, droit de l’Homme… ? Les pouvoirs publics, tant européens que nationaux, se sont posés la question de savoir si l’accès de tous les individus à Internet peut être qualifié comme tel. Les journaux ont repris les gros titres en fanfare, mais il paraît parfois difficile de savoir l’état actuel des choses.
Peut-on élever légitimement le droit d’accès à Internet au rang de droit fondamental, de droit de l’Homme ? Selon Vinton Gray Cerf[1], considéré comme l’un des pères fondateurs d’Internet, l’accès à Internet n’est pas un droit de l’Homme car il n’est pas un droit en soi, il n’est qu’un outil au service de la liberté d’opinion et d’expression (art 19 Déclaration Universelle des Droits de l’Homme). On se souviendra du rôle de la technologie lors du Printemps Arabe : Internet a été l’outil vecteur de l’incitation au soulèvement, par la communication, l’échange et la propagation des messages d’appel.
Le Conseil Constitutionnel, dans sa décision du 10 juin 2009 relative à la loi Hadopi , a estimé qu’ «en l’état actuel des moyens de communications et eu égard au développement généralisé des services de communication en ligne ainsi qu’à l’importance prise par ces services pour la participation à la vie démocratique et l’expression des idées et des opinions », la liberté d’opinion de l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui est un principe constitutionnel, implique la liberté d’accéder à ces services.
L’ONU a voté le 5 juillet 2012 une résolution établissant que “chaque individu a le droit de se connecter et de s’exprimer librement sur Internet. (..) Les droits dont disposent les citoyens hors ligne doivent être protégés en ligne quelque soit le pays, où le média est utilisé ». Ainsi, pour la première fois, l’ONU reconnaît l’accès à Internet comme un droit fondamental, au même titre que d’autres droits de l’Homme.
Alors qui a raison ? Internet est-il un droit à protéger ou un moyen de mettre en œuvre des droits fondamentaux préexistants, telle la liberté d’expression ? (suite…)
L’entreprise américaine de Cambridge MC10 a développé un patch biométrique permettant de surveiller les conditions physiques des personnes.
Depuis plusieurs années, les ingénieurs de cette entreprise, dirigés par le chercheur John A. Rogers et le professeur de l’université Lee J. Flory-Founder ont travaillé sur un projet, dont le but était de développer un dispositif qui combine les composants électroniques dans un patch ultra – fin.
L’utilisation du patch est très facile, il suffit de le coller sur la peau, comme n’importe quel autre patch. Une fois appliqué, il permet de contrôler la température du corps, la pression sanguine ou l’activité cérébrale.
Après de nombreuses péripéties et plus de quatre ans de tractations et pourparlers, notamment l’échec des négociations en juin dernier entre le Conseil Permanent des Écrivains (CPE) et le Syndicat National de l’Édition (SNE), l’adaptation du contrat d’édition à l’économie numérique a fini par voir le jour, selon les souhaits exprimés par la ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti.
En juin 2012, les travaux de la Commission du Conseil supérieur de la propriété intellectuelle et artistique (CSPLA), n’avaient toujours pas abouti, la modification du Code de la Propriété Intellectuelle n’était pas validée. C’est dans ce contexte que la ministre de la Culture avait confié pour mission à Pierre Sirinelli, professeur de droit à Paris I, d’accompagner le CPE[1] et le SNE[2] dans de nouvelles discussions.
Jusqu’à récemment, les contrats entre éditeurs et auteurs concernaient seulement le tirage papier. Des avenants avaient dû être ajoutés à ces contrats avec l’apparition des formats numériques. Il s’agit désormais aujourd’hui, de fixer des dispositions légales encadrant l’exploitation numérique des œuvres littéraires. Cet accord, officialisé le 21 mars dernier, pose ainsi désormais non seulement les principes nouveaux de l’exploitation du livre sous format numérique, mais modifie également plusieurs dispositions essentielles propres au livre imprimé. (suite…)