Après Whatsapp, c’est au tour de GMX Caramail et Facebook Messenger d’opter pour le  chiffrement de bout-en-bout afin d’offrir aux utilisateurs une sécurité renforcée de leurs communications face aux menaces fréquentes de piratages et vols de donnés.

Source : http://www.phonandroid.com/caramail-grand-retour-non-blague.html

Avec le chiffrement de bout-en-bout, les messages échangés ne sont lisibles que par l’auteur ou le destinataire. Pendant le transfert du message d’un appareil à l’autre, les communications restent indéchiffrables pour tout observateur extérieur. Tout se faisant automatiquement, n’importe qui peut aujourd’hui disposer d’un service autrefois réservé à une élite.
GMX CaraMail, premier fournisseur gratuit d’emails chiffrés de bout-en-bout, est basé sur le protocole PGP. L’avantage est la simplicité : il suffit de créer un mot de passe et d’accepter la sauvegarde de la clé privée par GMX. Les emails sont cryptés en seulement quelques clics.
Facebook Messenger s’est lui aussi lancé dans la tendance. Il est basé sur le protocole Signal, tout comme Google Allo. Facebook vivant en grande partie de la monétisation des données de ses membres, le mode secret n’est pas généralisé et nécessite d’être activée pour chaque conversation. Et à l’instar de Snapchat, les messages disparaissent un certain temps après avoir été lus.
Mais la sécurité n’a pas que des avantages. Les conversations secrètes ne sont pas intégrées au fil de discussion principal du contact. Ce mode interdit aussi les discussions de groupe et désactive un grand nombre de fonctionnalités comme les GIFs, les vidéos ou les bots. Enfin, la fonction sécurisée ne sera effective que sur un seul appareil, ce qui signifie qu’une conversation secrète démarrée sur mobile ne pourra être continuée sur un PC.
C’est donc entre sécurité et commodité que l’utilisateur devra faire son choix…
 
Sources :
http://www.phonandroid.com/caramail-grand-retour-non-blague.html
http://www.presse-citron.net/messenger-se-met-aussi-aux-messages-chiffres-et-ephemeres/
 

A propos de Laura WODLING