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En 2008, Barack Obama a tiré profit de l’impact des réseaux sociaux pour conquérir la Maison Blanche.
C’est la première fois dans l’histoire du web qu’un politique base une grande partie de sa campagne sur son e-réputation et de son Personal Branding avec le slogan «  Yes we can ». Les américains ont donc bien compris l’importance de ce mode d’interactivité.

En France, les candidats à l’élection présidentielle commencent  progressivement à prendre la mesure de l’impact du web 2.0 sur leur popularité.

En effet, contrairement à la télévision ou à la radio le temps d’expression n’est pas limité par le CSA. Il est donc facile pour chaque candidat de s’exprimer sur la toile. 
Les moteurs de recherches tels que Google sont également un excellent moyen de communication.  Rappelons que  les noms de domaine sont au cœur de la bataille présidentielle.
Youtube et Dailymotion sont un moyen pour chaque candidat de diffuser des vidéos sans limites de temps de paroles, sans contraintes du direct et la possibilité d’une constante rediffusion.
N’oublions pas le plus important : les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter. Qui sont un excellent moyen de se rapprocher du corps électoral. Il permet à ces derniers d’exprimer leur opinion sur des sujets de société en temps réel mais également de répondre directement aux ripostes de leurs adversaires.
 
Le citoyen français se trouve donc en 2012 en lien direct avec les candidats. Le temps de parole sur les antennes TV, les interventions par radio et les ripostes par voie de presse restent des moyens classiques et bientôt révolus face à l’ampleur qu’offre le web 2.0 aux politiques.
 
 
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