Quel événement pourrait mettre en évidence les enjeux mêlant culture, innovation et art ? C’est le pari que s’est lancé le Ministère de la Culture et de la Communication en organisant les rencontres de l’Automne Numérique entre les 8 octobre et 7 novembre derniers.
A l’initiative du Ministère, cette opération a vu le jour dans un but évident de souligner le développement fulgurant du numérique et son impact dans le domaine culturel. (suite…)
Commentaires fermés sur Retour sur la première édition de l’Automne Numérique du gouvernement français
Alors qu’Instagram avait été rachetée par Facebook pour 747 millions de dollars, l’entreprise Snapchat, pourtant comparable à Instagram en termes de popularité et de valeur a refusé les 3 milliards de dollars de Facebook ce 14 septembre 2013… Explication.
Snapchat est une application mobile qui ne paye pas de mine. Développée par deux étudiants américains et lancée en septembre 2011, elle connait un succès fulgurant avec son modèle simple : les utilisateurs s’envoient des photos, vidéos, textes ou dessins qui sont automatiquement effacés après un maximum de dix secondes. De très nombreux utilisateurs se sont pris au jeu de ce partage de photos éphémères… (suite…)
“La viralité n’est pas de la chance. Ce n’est pas magique. Et ce n’est pas un hasard. Il y a une science derrière le fait que les gens parlent et partagent. Une recette. Une formule, même.” (Jonah Berger, auteur de “Contagious”).
Il semble que derrière toutes les décisions de marketing ayant pour but la croissance d’une entreprise des médias sociaux, se trouve un “Growth Hacker”. Les “pirates de la croissance” ou les “Growth Hackers” mettent l’accent sur des solutions moins coûteuses et innovantes par rapport au marketing traditionnel. Ils utilisent les médias sociaux et le marketing viral, au lieu d’acheter la publicité à travers les médias plus traditionnels tels que la radio, les journaux et la télévision.
Cette technique de marketing est surtout développée par les startups dans le domaine des nouvelles technologies, souvent en manque de ressources, quelles soient humaines ou financières. Le “Growth Hacker” doit employer des méthodes différentes pour acquérir de nouveaux utilisateurs : sa créativité, sa pensée analytique et des mesures sociales pour vendre des produits et se faire connaître. (suite…)
La méthode la plus populaire d’obtenir de la musique au niveau mondial est l’achat de musique sur iTunes et d’autres portails. Avec le développement des technologies, la part de marché des fichiers de musique stockés sur un disque dur local diminue sensiblement.
Grâce au streaming, il est possible d’écouter plus de musique sur plusieurs appareils sans besoin de synchronisation. Le streaming est aussi beaucoup plus abordable. Le magasin de musique physique n’a plus aucun avantage, sauf peut-être la nostalgie et l’achat pour le plaisir de supports physiques. L’avenir appartient au streaming.
Another week, another revelation about the NSA world’s communications surveillance program. NSA processes enormous amounts of stored data, “communications or other data that is passed or accessible by electromagnetic means”. And there is no limit to the records the NSA could collect, according to Keith Alexander, the agency’s director. The conclusion is the following: we are all being watched, all the time.
Since the beginning of the revelations about the U.S. National Security Agency’s massive data collection programs, a widely used phrase from George Orwell’s book “1984” has increased in popularity once again: “Big Brother is watching you!”. It seems that just by replacing the names in the book you could fit this story into the United States NSA story.
In the book, by means of telescreens and hidden microphones across the city, the Party was able to monitor its members almost all of the time. In the era before computers, the Party used complicated mechanisms to exert large-scale control on economic production and sources of information. 1984 reveals that technology, which is generally perceived as working toward moral good, can also facilitate the most diabolical evil. (suite…)
Les attentes et les pratiques du consommateur ont profondément changé depuis l’émergence d’internet, des réseaux sociaux, des smartphones et des tablettes. Ces bouleversements ne semblent qu’être à leurs balbutiements au regard de l’arrivée massive des nouveaux produits connectés. Aujourd’hui, le consommateur moyen compare, s’informe et interagit avec son bien de consommation. Face à ces mutations, la démarche commerciale varie énormément ! En effet, il persiste un gouffre béant entre la réponse apportée aux clients par les professionnels du secteur et les marchands non spécialisés.
La transformation du consommateur en E-consommateur… (suite…)
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Researchers from the Oxford Internet Institute began a great project: the building of an interactive Atlas of Internet. Icing on the cake: it is completely free.
“Information is the raw material for much of the work that goes on in the contemporary global economy”, that’s how Mark Graham and Stephano De Sabbata explain their project. They want to draw an Internet map in order to identify the sources of our “knowledge economy” as they call it. This process has taken 4 years now for gathering data from international organizations, institutions reports and drawing visualizations around 3 key points: access, information production and information representation. Their work is still in progress. In the end there will be 30 to 60 maps released both as book and e-book, the whole under the Creative Commons license. (suite…)
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