Le référencement naturel a pour objectif d’améliorer le positionnement d’une page web dans les résultats des moteurs de recherche. Les clés d’un bon référencement sont la conception, le contenu de la page ainsi que la popularité qu’elle génère.
Les médias sociaux vont jouer un rôle important dans la popularité des pages grâce à l’amélioration de la visibilité et du trafic des sites web. Ainsi, les médias sociaux joueront un rôle important dans le référencement naturel des pages.
L’optimisation des médias sociaux est connu sous l’acronyme « Social Media Optimization », plus communément nommé SMO.
 

 

Le SMO : un tour d’horizon

Le Social Media Optimization permet d’améliorer la visibilité d’un site internet grâce aux médias sociaux. Cette optimisation peut se faire de deux manières : soit l’entreprise utilisera les réseaux sociaux comme relais d’information afin de créer une interaction avec ses clients. Soit, inversement, elle les utilisera afin d’amplifier sa visibilité grâce aux partages de contenus.
 

 
Grâce à ces deux procédés, l’entreprise pourra à la fois développer la fidélité de ses clients et augmenter l’audience de ses contenus afin d’acquérir une nouvelle cible.

Les avantages du Social Media Optimization

Tout d’abord, cette pratique constitue un moyen idéal pour contrôler sa e-réputation sur internet. En effet, grâce aux réseaux sociaux, l’entreprise pourra présenter ses valeurs aux internautes. Ensuite, les médias sociaux sont un canal de communication important et privilégié des nouvelles générations. Communiquer via ce canal est donc relativement important.

Les limites du Social Media Optimization

Cependant, la gestion des réseaux sociaux est relativement complexe. Un bon SMO demandera un investissement temps considérable ainsi que la constitution d’une équipe compétente, produisant un contenu adapté et attractif pour les utilisateurs.
Si ce nouveau référencement apportera une plus-value à l’entreprise, son retour sur investissement (ROI) peut être long et fluctueux aux grès de l’évolution de la communauté.

A propos de Marie TSOUKALAS