Pas moins de 4 000 transistors en plastique composent le premier processeur  de ce genre, mis au point par une équipe de chercheurs belges spécialisés dans la recherche en nanoélectronique IMEC.
L’avantage de cette puce de 2cm² : Sa souplesse en plus de sa matière plastique. Les chercheurs annoncent aussi un coût de production bien inférieur à celui des puces électroniques actuelles en silicium.

Ses inconvénients : Elle fonctionne à 8Hz et les informations sont codées sur seulement 8 bits.
De plus, sa fabrication n’est pas simple : les transistors en plastique n’ayant pas tous les mêmes caractéristiques et leur comportement est imprévisible.
La puissance de calcul est donc d’un autre âge, permettant seulement l’éxécution de 6 instructions à la seconde. Les processeurs actuels utilisent l’unité de mesure MIPS (Millions d’Instruction Par Seconde).
Néanmoins, l’avancée technologie est impressionante, et on peut facilement imaginer que ces puces pourront être installées un peu partout, comme sur des vêtements par exemple.
 
Sources :
http://www.actinnovation.com/innovation-technologie/nanotechnologie-le-premier-microprocesseur-organique-flexible-1838.html
– 01.net

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